Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
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Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Réparation d'un Master Replicas Snowspeeder.
Après plusieurs mois de veille, j'ai réussi à trouver un snowspeeder pour pas trop cher (sous sa côte) mais malheureusement, l'empaquettage pour le transport ayant été mal fait (la boîte d'origine ne faisait pas partie du lot), il est arrivé dans un piteux état.
Après une négo tendue, j'ai décidé de le garder pour un prix finalement très correct et de procéder aux réparations moi-même.
Les dégâts sont conséquents :
- embase du canon droit explosé
- celle du gauche cassée
- plaque du radiateur arrière désaxée
- les 2 ailes en miettes
- le canon arrière, détaché, semble avoir déjà été réparé, car il y a des traces de cyano
- le capôt plexiglass cassé sur 2 côtés
- un bras de la base miroir en plexiglass cassé
Il était protégé dans des coins de carton, et le tout comblé de billes de polystyrène, malheureusement le modèle reposait directement sur les bras du socle en plexi. S'il y avait eu quelques plaques de polystyrène entre le ventre du vaisseau et la base du socle, afin que les poids reposent sur les faces planes aurait suffit à le protéger. Pour le capot plexi, seul un carton plus grand et plus ferme aurait pu le protéger.
Pour sortir les pièces (avant même de constater les dégâts), je mettais des billes partout, et ça collait au main avec l'électricité statique. Donc, comme les pro, j'ai utilisé un gros aspirateur (tonneau karcher) pour les aspirer, et il m'a fallu plusieurs sacs de 25 litres tellement il y en avait !
Et pour retrouver les pièces cassées au milieu des montagnes de billes, ce sont plusieurs soirées qui furent nécessaires.
J'ai contré l'électricité statique en ajoutant de la poussière (tout simplement en remarquant les effets dans le fond du sac de l'aspirateur ;) ) Les plus petites pièces ont ensuite été retrouvées dans la dite poussière ! (une soirée de plus)
Au delà des problèmes de transport, il faut avouer que ce Master Replicas n'est pas aisé à manipuler, car fragile des quatre côtés, ce qui explique qu'il est certainement celui qui a eu le plus de casse de la série des vaisseaux. Pour le poser à plat, il faut une épaisseur centrale sinon tout le poids (et il le fait justement...) repose sur le bout des ailes (en résine) et les canons. Pour le poser sur le dos, il repose sur le cockpit en résine (pas très stable et plutôt stressant) donc il vaut mieux déporter le poids par des épaisseurs de torchons au niveau des ailes.
Pour travailler dessus verticalement, les ailes et les canons étant trop fragiles, c'est uniquement possible sur la grille de ventillation arrière (et encore, sans le petit canon).
Pour parfaire le tableau, MR a insidieusement ajouté un niveau de fragilité supplémentaire sur les canons !
S'il est bien sur une base de tige aluminium tourné (ce qui était même un argument de vente si je me rappelle bien), il ne va pas assez loin dans son logement (il manque 1,5cm). Ce dernier étant en plus trop large, tout le poids du canon repose finalement sur l'embase en résine, qui supporte donc difficilement les chocs.
Après plusieurs mois de veille, j'ai réussi à trouver un snowspeeder pour pas trop cher (sous sa côte) mais malheureusement, l'empaquettage pour le transport ayant été mal fait (la boîte d'origine ne faisait pas partie du lot), il est arrivé dans un piteux état.
Après une négo tendue, j'ai décidé de le garder pour un prix finalement très correct et de procéder aux réparations moi-même.
Les dégâts sont conséquents :
- embase du canon droit explosé
- celle du gauche cassée
- plaque du radiateur arrière désaxée
- les 2 ailes en miettes
- le canon arrière, détaché, semble avoir déjà été réparé, car il y a des traces de cyano
- le capôt plexiglass cassé sur 2 côtés
- un bras de la base miroir en plexiglass cassé
Il était protégé dans des coins de carton, et le tout comblé de billes de polystyrène, malheureusement le modèle reposait directement sur les bras du socle en plexi. S'il y avait eu quelques plaques de polystyrène entre le ventre du vaisseau et la base du socle, afin que les poids reposent sur les faces planes aurait suffit à le protéger. Pour le capot plexi, seul un carton plus grand et plus ferme aurait pu le protéger.
Pour sortir les pièces (avant même de constater les dégâts), je mettais des billes partout, et ça collait au main avec l'électricité statique. Donc, comme les pro, j'ai utilisé un gros aspirateur (tonneau karcher) pour les aspirer, et il m'a fallu plusieurs sacs de 25 litres tellement il y en avait !
Et pour retrouver les pièces cassées au milieu des montagnes de billes, ce sont plusieurs soirées qui furent nécessaires.
J'ai contré l'électricité statique en ajoutant de la poussière (tout simplement en remarquant les effets dans le fond du sac de l'aspirateur ;) ) Les plus petites pièces ont ensuite été retrouvées dans la dite poussière ! (une soirée de plus)
Au delà des problèmes de transport, il faut avouer que ce Master Replicas n'est pas aisé à manipuler, car fragile des quatre côtés, ce qui explique qu'il est certainement celui qui a eu le plus de casse de la série des vaisseaux. Pour le poser à plat, il faut une épaisseur centrale sinon tout le poids (et il le fait justement...) repose sur le bout des ailes (en résine) et les canons. Pour le poser sur le dos, il repose sur le cockpit en résine (pas très stable et plutôt stressant) donc il vaut mieux déporter le poids par des épaisseurs de torchons au niveau des ailes.
Pour travailler dessus verticalement, les ailes et les canons étant trop fragiles, c'est uniquement possible sur la grille de ventillation arrière (et encore, sans le petit canon).
Pour parfaire le tableau, MR a insidieusement ajouté un niveau de fragilité supplémentaire sur les canons !
S'il est bien sur une base de tige aluminium tourné (ce qui était même un argument de vente si je me rappelle bien), il ne va pas assez loin dans son logement (il manque 1,5cm). Ce dernier étant en plus trop large, tout le poids du canon repose finalement sur l'embase en résine, qui supporte donc difficilement les chocs.
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Je ne connaissais pas ces répliques .Belle pièce , par contre surpris qu'il était mal emballé
surtout pour ce genre d'objet .
bon courage pour la suite
surtout pour ce genre d'objet .
bon courage pour la suite
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
C'est vrai que l'emballage du Snow laisse vraiment à desirer
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
anarose31 a écrit:Je ne connaissais pas ces répliques .Belle pièce , par contre surpris qu'il était mal emballé
surtout pour ce genre d'objet .
bon courage pour la suite
Cette marque n'existe plus et a été remplacé par efx. Ils réalisent des répliques de props de tournage, dont quelques vaisseaux star wars studio scale. Curieusement, le snowspeeder a été réalisé au 3/4 de l'échelle de studio, ce qui fait qu'il a eu assez peu de succès à sa sortie en 2005.
Fetchou a écrit:Ah oui! t'a du boulot!
Oui, mais ça reste finalement qu'une grosse maquette à retaper. C'est surtout d'encaisser le coup au déballage qui fut rude !
Niko Eastwood a écrit:C'est vrai que l'emballage du Snow laisse vraiment à desirer
Ici, ce n'était pas l'emballage original. Mais je crois me souvenir que même dans celui-ci, il y a pas mal d'exemplaires qui avaient effectivement souffert.
Invité- Invité
francois2dk- Membre Actif
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Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Merci François
C'est parti pour les réparations
- Le plexiglass se colle tout simplement au choloroforme. Le hic, c'est d'avoir chez soi, car que c'est très compliqué d'en obtenir de nos jours.
Ca fond les 2 côtés en quelques secondes et ne laisse quasiment pas de traces aprés évaporation.
Par contre, il n'y a rien à faire pour les marques de cassures qui restent visibles, elles le resteront malheureusement (à moins de faire réaliser un capot sur mesure).
- la plaque de la grille de ventilation est tout simplement repositionnée. Elle n'est pas aussi bien fixée qu'avant car un picot est cassé, mais ca ne se voit pas.
- sur le canon gauche, dont l'embase est fendue, je préfère le laisser ainsi plutot que d'agraver la situation en essayant d'y toucher (ça résiste un peu), je préfère le repousser à fond. Ca ne se voit pas trop (juste une petite gissure) et a finalement s
- sur le petit canon arrière, j'ai fait doucement sauter les surplus de colle. Là où l'épaisseur était fine, je l'ai simplement grattée avec un stylo à fibre pour lui faire perdre son aspect brillant, et éviter d'avoir à repeindre. Un petit jus devrait fo
Le dessous du canon a par contre nécessité un ponçage, donc à repeindre.
Je ne vais pas le recoller mais seulement l'emboîter, en renforçant avec une petite tige.
- sur le canon droit.
Je recolle bout à bout les morceaux de l'emabse à la cyano. Les éclats manquant du petit bourrelet sont complétés avec un petit boudin de la colle bi-composant.
Les fissures sont rebouchées au mastic plastique à figurines, puis du mastic cellulosique de finition si nécessaire.
Il est ensuite recollé à sa place sur le modèle (et mastic..) Il reste quelques marques, mais je préfère ne pas trop insister.
Pour rallonger le canon, j'ai percé l'extremité (et cassé plusieurs mêches dans l'opération...) pour y visser en force une vis à bois. L'idée est de prendre ensuite tout ça avec de la résine coulée dans le logement.
- le recollage des ailes est finalement plus délicat. Car la colle ajoutait une épaisseur petit à petit, et au bout d'un moment, il y avait des décalages et il a fallu poncer un peu les tranches des pièces.
Les mêmes mastics sont ensuite utilisés : Mastic figurine, mastic cellulosique de finition, colle bi composant.
Et tout est poncé pour revenir à une surface bien lisse
Sur les bords, plutôt que de chercher à combler les éclats, avec une solidité douteuse à cet endroit, j'ai préféré en faire de nouveaux impacts, à l'image de ceux, comme sur la photo suivante, qui étaient là d'origine.
Il est prêt pour la retouche de peinture
C'est parti pour les réparations
- Le plexiglass se colle tout simplement au choloroforme. Le hic, c'est d'avoir chez soi, car que c'est très compliqué d'en obtenir de nos jours.
Ca fond les 2 côtés en quelques secondes et ne laisse quasiment pas de traces aprés évaporation.
Par contre, il n'y a rien à faire pour les marques de cassures qui restent visibles, elles le resteront malheureusement (à moins de faire réaliser un capot sur mesure).
- la plaque de la grille de ventilation est tout simplement repositionnée. Elle n'est pas aussi bien fixée qu'avant car un picot est cassé, mais ca ne se voit pas.
- sur le canon gauche, dont l'embase est fendue, je préfère le laisser ainsi plutot que d'agraver la situation en essayant d'y toucher (ça résiste un peu), je préfère le repousser à fond. Ca ne se voit pas trop (juste une petite gissure) et a finalement s
- sur le petit canon arrière, j'ai fait doucement sauter les surplus de colle. Là où l'épaisseur était fine, je l'ai simplement grattée avec un stylo à fibre pour lui faire perdre son aspect brillant, et éviter d'avoir à repeindre. Un petit jus devrait fo
Le dessous du canon a par contre nécessité un ponçage, donc à repeindre.
Je ne vais pas le recoller mais seulement l'emboîter, en renforçant avec une petite tige.
- sur le canon droit.
Je recolle bout à bout les morceaux de l'emabse à la cyano. Les éclats manquant du petit bourrelet sont complétés avec un petit boudin de la colle bi-composant.
Les fissures sont rebouchées au mastic plastique à figurines, puis du mastic cellulosique de finition si nécessaire.
Il est ensuite recollé à sa place sur le modèle (et mastic..) Il reste quelques marques, mais je préfère ne pas trop insister.
Pour rallonger le canon, j'ai percé l'extremité (et cassé plusieurs mêches dans l'opération...) pour y visser en force une vis à bois. L'idée est de prendre ensuite tout ça avec de la résine coulée dans le logement.
- le recollage des ailes est finalement plus délicat. Car la colle ajoutait une épaisseur petit à petit, et au bout d'un moment, il y avait des décalages et il a fallu poncer un peu les tranches des pièces.
Les mêmes mastics sont ensuite utilisés : Mastic figurine, mastic cellulosique de finition, colle bi composant.
Et tout est poncé pour revenir à une surface bien lisse
Sur les bords, plutôt que de chercher à combler les éclats, avec une solidité douteuse à cet endroit, j'ai préféré en faire de nouveaux impacts, à l'image de ceux, comme sur la photo suivante, qui étaient là d'origine.
Il est prêt pour la retouche de peinture
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
bien joué l'artiste
francois2dk- Membre Actif
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Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Sacré boulot ! tu t'en sors bien !
petersteven-fondateur- Admin
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Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
un magicien ce olcabour
Et que l'expéditeur soit fouetté sur la place publique
Et que l'expéditeur soit fouetté sur la place publique
flix78- Modérateur
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Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Merci les gars.
Et non flix, je ne suis pas un magicien, seulement un apprenti (comme Mickey), tu vas comprendre pourquoi sous peu.
Et non flix, je ne suis pas un magicien, seulement un apprenti (comme Mickey), tu vas comprendre pourquoi sous peu.
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Une petite séance de masquage avant d'attaquer la peinture
Une fine couche de primer
J'ai ensuite utilisé des teintes tamiya, mélangées à l'instinct : sky grey, light grey, neutral grey, blanc mat...
Sur ce type de rafistolage, on obtient jamais tout à fait la même teinte. Sil n'y a pas de ligne de structure proche, le truc est de vaporiser plus large pour faire un fondu de couleurs avec les zones "saines".
Voilà ce que ça donne avec les couleurs "pleines".
- on voit bien la différence, car la livrée initiale etait totalement recouverte de tous petits mouchetis, comme on peut le voir ici sur la peinture d'origine :
Pour réaliser ces petits mouchetis, il faut obligatoirement que l'aéro soit double action afin de vaporiser plus de peinture que d'air.
Ça se passe à très faible pression (~0,3 bar). La couleur n'est pas du noir, mais du german grey.
Et pour éviter les gaffes, il faut se caler sur une feuille et venir ensuite sur la zones à travailler sans changer le réglage.
Il reçoit ensuite une couche de klir.
Puis de vernis mat pébéo
On notera que les vernis ont un peu foncé les nouvelles couleurs (d'où l'intérêt du fondu).
Le weathering suit les photos du modèle réalisées avant le ponçage. Il y a :
- des jus noir
- Quelques marques noires et blanches, en restant dans le même esprit que le reste du modèle sur les nouveaux impacts
- Un très léger brossage noir cassé de terre d'ombre sur l'embase du canon On remarque que sur la partie rainurée, la fissure reste apparente car avait pas trop voulu travaillée cette partie volontairement, finalement j'aurais peut être du...
Next step : mise en place du canon
Une fine couche de primer
J'ai ensuite utilisé des teintes tamiya, mélangées à l'instinct : sky grey, light grey, neutral grey, blanc mat...
Sur ce type de rafistolage, on obtient jamais tout à fait la même teinte. Sil n'y a pas de ligne de structure proche, le truc est de vaporiser plus large pour faire un fondu de couleurs avec les zones "saines".
Voilà ce que ça donne avec les couleurs "pleines".
- on voit bien la différence, car la livrée initiale etait totalement recouverte de tous petits mouchetis, comme on peut le voir ici sur la peinture d'origine :
Pour réaliser ces petits mouchetis, il faut obligatoirement que l'aéro soit double action afin de vaporiser plus de peinture que d'air.
Ça se passe à très faible pression (~0,3 bar). La couleur n'est pas du noir, mais du german grey.
Et pour éviter les gaffes, il faut se caler sur une feuille et venir ensuite sur la zones à travailler sans changer le réglage.
Il reçoit ensuite une couche de klir.
Puis de vernis mat pébéo
On notera que les vernis ont un peu foncé les nouvelles couleurs (d'où l'intérêt du fondu).
Le weathering suit les photos du modèle réalisées avant le ponçage. Il y a :
- des jus noir
- Quelques marques noires et blanches, en restant dans le même esprit que le reste du modèle sur les nouveaux impacts
- Un très léger brossage noir cassé de terre d'ombre sur l'embase du canon On remarque que sur la partie rainurée, la fissure reste apparente car avait pas trop voulu travaillée cette partie volontairement, finalement j'aurais peut être du...
Next step : mise en place du canon
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francois2dk- Membre Actif
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Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
super pas a pas
tatoo- Membre Actif
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Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Merci les gars :)
Restait donc une opération délicate, le recollage du canon.
Tout d'abord, je protège la bête.
Ma première idée était d'utiliser de la résine PU (polyuréthane) pour combler en même temps le logement.
Au dernier moment, j'ai choisi plutôt de la colle polyester bi composante.
Et ca a été une très mauvaise idée car avec un temps de prise trop long, un résultat pas assez solide, la fausse manip arriva et l'embase s'est redécollée :(
Donc, après nettoyage et une coulée de résine PU, 30 min plus tard, ça tient maintenant nickel...
Maintenant et il faut reponcer et remastiquer les fissures...
GRRR mais qu'est ce que j'ai été bête !!!!!!
Dicton du jour : toujours se fier à sa première idée
Restait donc une opération délicate, le recollage du canon.
Tout d'abord, je protège la bête.
Ma première idée était d'utiliser de la résine PU (polyuréthane) pour combler en même temps le logement.
Au dernier moment, j'ai choisi plutôt de la colle polyester bi composante.
Et ca a été une très mauvaise idée car avec un temps de prise trop long, un résultat pas assez solide, la fausse manip arriva et l'embase s'est redécollée :(
Donc, après nettoyage et une coulée de résine PU, 30 min plus tard, ça tient maintenant nickel...
Maintenant et il faut reponcer et remastiquer les fissures...
GRRR mais qu'est ce que j'ai été bête !!!!!!
Dicton du jour : toujours se fier à sa première idée
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
ouf impeccable
francois2dk- Membre Actif
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Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Travail de fou que tu as commencé là!
Beau résultat bravo!
Beau résultat bravo!
Dark kyp- Membre Actif
- Nombre de messages : 521
Date d'inscription : 07/02/2009
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Dernière édition par olcabour le Dim 30 Mar 2014 - 22:48, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Comme neuf, bravo!
Dark kyp- Membre Actif
- Nombre de messages : 521
Date d'inscription : 07/02/2009
flix78- Modérateur
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Localisation * : le 78
Date d'inscription : 23/07/2010
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
Jolie restauration, bien que je trouve tes kits beaucoup plus beaux,
Par contre on dirait que tu as oublié le plaque du radiateur arrière désaxée
Par contre on dirait que tu as oublié le plaque du radiateur arrière désaxée
DV- Membre Actif
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Age : 56
Localisation * : Tatooine
Date d'inscription : 08/01/2011
Re: Restauration d'un Master Replicas Snowspeeder
flix78 a écrit: Mickey
euh ? Donald ? ... Pluto ?
Merci flix
DV a écrit:Jolie restauration, bien que je trouve tes kits beaucoup plus beaux,
Par contre on dirait que tu as oublié le plaque du radiateur arrière désaxée
Merci du double compliment DV
Ici, il s'agissait de remettre l'objet à neuf, pas de le repeindre à ma sauce
Le weathering pourrait certes être amélioré (traces, écailles de peinture) pour des pinailleurs comme nous, néanmoins je le trouve quand même franchement bien réussi pour un objet de série.
Bien vu, effectivement j'ai oublié de remettre la plaque du radiateur avant la photo. elle se re-déboîte rapidement lors des manipulations. L'un des picots est cassé, et je ne voulais pas forcer sur le second car il résistait. Maintenant qu'il est sous son plexi, elle bouge plus la bougresse !
Invité- Invité
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